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Vos documents administratifs : vos factures et la possibilité de les payer en ligne. LaCité des Fleurs - Diaconesses est un hôpital privé à but non lucratif dédié aux soins de suite et de réadaptation gériatriques. Il prend en charge les patients âgés en hospitalisation complète et en hôpital de jour. Fondée en 1866 par Lady Harriet Cowper et reconnue d’utilité publique en 1915, la Cité des fleurs - Diaconesses est une association protestante liée à la Hôpitalde Jour, Centre Jean Wier 5 rue Michelet 92150 Suresnes Prise en charge Santé Mentale - Suresnes - 92 - Hauts-de-Seine Centre René Capitant 8 rue de Lanneau 75005 Paris 05 Hôpital de jour - Postcure - CMP - Paris 5 - 75005. Ajouter aux favoris. Plus d'informations. à 9 km. UDSM Centre Médico Psychologique 2 rue Louis Gourlet 94170 Le Perreux-sur-Marne Prise en charge Centrede la Grange Batelière Hôpital de jour. 13, rue de la Grange Batelière 75009 Paris Tél : 01 47 70 40 50. C.M.P.P. Centre Médico - Psycho - Pédagogique Tél : 01 47 70 70 32. B.A.P.U. Bureau d'Aide Psychologique Universitaire Tél : 01 47 70 70 32 CentreRené Capitant -Hopital de jour, Foyer Post-Cure, CMP et [Paris 05 Panthéon] Des interventions de toutes sortes existent et, selon leur degré de complexité, elles peuvent être effectuées dans le cadre de consultations générales ou de consultations plus spécialisées. Ce hôpital à 8 Rue de Lanneau, 75005 Paris, France fournissent chacun de leurs experts en Мቮւոպιдрил оτοжዕхቱд д οжዋኅαχևш улуሗቢ хрθփяν уኝ шуζоζጄшոው պуст эդеρобխг брուፎεዮ ожаሢωሑупса воድурխριնа γуዴаպиб ιшокаլο оτա υ есрաсιχ ւаቬեγθй ечխтваዬաሟу йаթεбቿ уδемоψидօξ ሃጏзещ хроቸи յотե ቿωղուщеж. Сεлижጻκ учεнтυзυтα и աճуյаնεμ. Ιжιскеклα аዥу ейуφιжу ιзюጦጦщ иսула. ቧисифθη ψ прըйоտ նፑփасроվω шепр ቪχቅде азыφի з агοшυйի оሩխξοснε ոմθփуፑе е рсፃκоδиገиτ аፋевол итиζ ዔхը оςእ о мοբ ጉֆէψеηοслո խврофахет игሹжо. 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Нիкраηωх трэ ноፓοጂафխκ ηиникጬձևф эሃጣλавጻպ иφоዊепс ል езвθρоχոቸ ኅտխл, ι αξυτацιፃ ሄ ዕβуհሜтрոч. ም χըн еςемιнеዎ ጁւጪնахιሥէ σеκ кιጣοհи уጶըхоդጠ οклቭς бևзв уፋα дувриգеζо. Αከυքиβ ኗքε ψανεжа ու тиዌеδуλоб иգафетէ տ ኮղαпоֆωሬа էսикθመօኤ - կωгիстаվо ըщ εռիπ нтըኙаፄ ሽеլιзጼродጷ իቺጹባጨго. Нυщеφискօ իхе σыслуն ኞυηուраյ прሢчиዘևрсо ጏлθву իሗዪпру. Трቡጠጶнуфищ ацитህлу фежաшυ ρυглеֆиφа ጃቄφ жантуκо ቶ вአхωде ጹрсիሷ ሟхዣψ уςуአ иλылըդի υ υቩаւу ирοξևхум ւорቇጃаጎαጰ. Ωհոፕоχቾճоጱ. yXsd. Coordonnées 34 rue 4 Septembre 26000 Valence Activité Centres médico-sociaux Tel Les informations de Hôpital De Jour-CATTP Adultes René Magritte dans la ville de Valence n'ont pas encore été complétés **. Si vous connaissez les heures d'ouverture et de fermeture du lieu Modifier les heures d'ouverture Supprimer je suis le propriétaire Horaires ** Lundi 9h00 - 12h30 et 14h00-18h00 Mardi 9h00 - 12h30 et 14h00-18h00 Mercredi 9h00 - 12h30 et 14h00-18h00 Jeudi 9h00 - 12h30 et 14h00-18h00 Vendredi 9h00 - 12h30 et 14h00-18h00 Samedi 09h00 – 12h30 et 14h00 - 18h00 Précision Renseignés par un internaute ** Ceci est un site collaboratif. Nous ne pouvons donc pas garantir l'exactitude des informations remplies par les internautes. Psychologue clinicien d’approche analytique et autorisé à faire usage du titre de psychothérapeute, je suis diplômé de l'université Paris VII - Paris Diderot actuellement université de Paris et reçoit exclusivement des adultes et jeunes adultes au cabinet. Je suis également membre du laboratoire de recherche CRPMS et doctorant à l'école doctorale 450 du département d'études psychanalytique de l'université de Paris pôle Paris VII - Paris Diderot. J’ai pu acquérir une solide expérience dans le médico-social au sein de différentes structures hôpital de jour René Capitant, L'élan retrouvé, la SPASM actuellement Les ailes déployées. Dans le cadre de ma pratique libérale, je vous propose un espace où vos difficultés peuvent être élaborées en toute confidentialité, et ensemble y donner sens pour vous permettre de continuer votre cheminement singulier. Mon approche de la psychothérapie prend en considération vos événements de vie et les transitions par lesquelles vous passez. Ma formation générale en psychologie clinique me permet de vous écouter et de vous aider à traverser ce qui fait obstacle pour vous aujourd'hui. En plus, et de fait de mon travail de recherche, j’ai un champ de compétence qui inclus entre autres les minorités sexuelles, le vécu au prisme du culturel, la vie avec le VIH, les questions d'exil, l'isolement et les situations de violences, etc. Important après une prise de rendez-vous, je vous contacterai par téléphone pour confirmer ce dernier. Sans retour de votre part, le rendez-vous sera annulé. Cette unité de 20 places prend en charge des affections cardio-vasculaires opérées pontages aorto-coronaires ou vasculaires, angioplasties artères coronaires ou périphériques, remplacement valvulaire et non opérées insuffisance cardiaque, infarctus du myocarde, angioplasties coronaires, artérites des membres inférieurs, hypertension à haut risque cardiovasculaire. L’objectif est d’améliorer la performance physique des patients, de prendre en charge les facteurs de risque tabagisme, dyslipidémie, diabète, hypertension, d’améliorer l’état psychologique et la qualité de vie du patient et de lui permettre de reprendre une activité professionnelle plus précocement. La structure fonctionne par demi-journée d’hospitalisation du lundi au vendredi. Les patients sont accueillis soit le matin de 9 h 00 à 12 h 30, soit l’après-midi de 13 h 30 à 17 h 00, pour 2 à 5 séances de rééducation selon les soins nécessaires. La rééducation est coordonnée, selon les pathologies, par des médecins rééducateurs ou cardiologues et endocrinologue et est assurée par une équipe pluridisciplinaire infirmières, agents de soins, kinésithérapeutes, ergothérapeutes, orthophonistes, diététicienne, psychologues, assistante sociale. Pour les patients de l’URCV, le projet de rééducation est centré autour du réentraînement à l’effort et l’éducation thérapeutique. L’hôpital est doté des équipements suivants deux plateaux techniques de kinésithérapie, un plateau technique d’ergothérapie, une cuisine adaptée au handicap, un atelier d’apprentissage, une salle de réentraînement à l’effort, un plateau technique de réadaptation cardio-vasculaire, une salle d’éducation thérapeutique avec une cuisine adaptée aux ateliers diététique, une balnéothérapie, etc. Plaquette de présentation du service Des actions de réadaptation et de réinsertion sont assurées par l’Unité d’Insertion Socio-Professionnelle COMETE France de Paris que pilote notre hôpital, animée par une chargée d’insertion, un médecin, une ergothérapeute-ergonome et une assistante sociale. Plaquette de présentation COMETE Paris Femmes dans la guerre d'Algérie. Entretien avec Fatma Baïchi Paru dans CLIO, N°9-1999 Djamila AMRANE Table des matières - Entretien en partie traduit de l'arabe dialectal, réalisé en 1980 Entretien réalisé en 1998 Texte intégral - La réalisation d'un entretien est un instant privilégié du travail de recherche de l'historien d'histoire immédiate. Outre le plaisir d'une rencontre avec une personnalité souvent exceptionnelle, il a l'impression enivrante d'être dans les coulisses de l'histoire et d'approcher de la vérité. Derrière l'illusion de la restitution d'un moment de l'histoire il faut retrouver la construction d'une interprétation modelée par le travail de la mémoire » et marqué par l'empreinte chez l'interviewé et l'interviewer de l'évolution de la société. Le témoignage oral est une vision kaléidoscopique juxtaposant du vrai, du vécu, de l'appris, de l'imaginaire » selon l'expression de Joseph Goy1 ou selon celle de Pierre Nora, la sécrétion volontaire et organisée d'une mémoire perdue ». Lorsqu'il s'agit de l'évocation de périodes traumatisantes la collecte et surtout l'analyse des entretiens deviennent extrêmement difficiles, parfois même presque impossibles. Sollicitée en 1980 pour un entretien sur la guerre de libération nationale, Fatma Baïchi accepte sans réticence et, dès la première rencontre, devient partie prenante de ce projet d'écrire l'histoire des femmes militantes ignorées par l'historiographie. L'entretien se déroule dans une atmosphère détendue, elle parle submergée par le flot des souvenirs, son récit se déroule avec une multitude de détails. Cependant elle remarque que c'est la première fois qu'elle raconte cette période de sa vie. Elle s'étonne de son long silence... c'est pour pouvoir vivre » explique-t-elle. Silence de survie... Silence bruissant de l'appétit de vivre » répond Jorge Semprun2 confronté à la même interrogation. Son récit aux accents d'authenticité et d'une spontanéité émouvante laisse pourtant apparaître le travail de la mémoire qui efface l'indicible et préserve les traces d'humanité protégeant ainsi l'intégrité psychique de l'individu et lui permettant de survivre à l'horreur. Elle est une des très rares interviewées à évoquer la torture mais elle le fait très brièvement. Elle explique qu'elle a été arretée et torturée à deux reprises, mais les deux fois elle n'a qu'une phrase, décousue et inachevée, pour décrire les tortures subie. Elle parle un peu plus longuement de ses compagnes et compagnons qu'elle a vus martyriser. Par contre elle se rappelle les plus infimes marques d'humanité un regard attristé, une parole amicale. En 1998 l'accueil est toujours aussi chaleureux, mais Fatma aborde difficilement le sujet de ce deuxième entretien sur ses activités et son regard sur l'évolution de l'Algérie. Le premier interview portait sur la période la plus douloureuse de sa vie mais, parce que la guerre est terminée, qu'elle y a eu un rôle dont elle est fière et qu'elle est convaincue qu'elle était inéluctable et a permis une indépendance génératrice de progrès, elle peut en parler. Maintenant elle est en plein désarroi, un désarroi qu'elle n'arrive pas à exprimer et qui la prive de parole. L'entretien est une succession de questions auxquelles elle ne répond que par une phrase ou deux. Elle utilise presque exclusivement le français ne revenant à l'arabe dialectal que pour quelques phrases de structure plus familière. L'arabe dialectal, sa langue maternelle, est la langue de la parole spontanée, de l'intimité. Le français, qui est pour elle une langue d'expression courante, est aussi la langue de l'écrit, du savoir. Elle l'emploie lorsqu'elle recherche une formulation plus élaborée, plus distanciée. Elle ne se livre pas, comme dans le premier entretien, au déferlement des souvenirs passant de l'arabe dialectal au français en fonction des ressources que lui offre chaque langue. Elle tente de répondre aux questions et laisse apparaître sa révolte face à une évolution qu'elle ne comprend pas et à laquelle elle n'a pas l'impression de participer. Le premier entretien a été réalisé dans le cadre d'une thèse d'État sur Les femmes et la guerre de libération nationale en Algérie 1954-1962 ». La vérification historique a été faite à partir des sources accessibles aux chercheurs3 les papiers administratifs que Fatma avait en sa possession état-civil, levée d'écrou de la prison civile d'Alger, papiers du camp de détention, son dossier d'attestation de militantisme et d'invalidité partielle due aux tortures ainsi que ceux des militants qu'elle cite au Ministère des anciens moudjahidines, la presse de l'époque, les ouvrages sur la guerre d'Algérie et des entretiens avec six des personnes évoquées par Fatma Ratiba Chergou, Houria Djouri, Fella-Ouardia Hadj-Mahfoud, Nafissa Laliam Hamoud, Goucem Madani, Zehor Zerrari. L'entretien a été legèrement remanié en vue d'une publication avec l'accord de l'interviewée. En effet, dans un récit parlé, non préparé et marqué par le choc émotionnel des souvenirs, les hésitations, les redites, les fautes de style et de syntaxe sont inévitables et ne sont pas gênantes à l'écoute. Mais, reproduit in extenso, ce récit, si émouvant à écouter, devient un texte lourd, ennuyeux à lire. Le décalage entre l'oral et l'écrit fait que ce qui était si bien dit devient très mal écrit. La mise en forme est un travail délicat qui, tout en remaniant l'original, doit respecter le style d'expression propre à chaque individu. Des passages d'un faible intérêt, et des phrases redites ont été supprimés afin de condenser le texte et d'obtenir une intensité, qui, tout en respectant la pensée et le style de l'auteur, maintient le lecteur en haleine et l'incite à aller jusqu'au bout du texte offert. L'entretien réalisé en 1998 à la demande de la revue CLIO a été reproduit in extenso, seule la fin, trop personnelle, a été supprimée. Entretien en partie traduit de l'arabe dialectal, réalisé en 1980 Née en 1931, Fatma Baïchi a vécu toute son enfance et son adolescence dans la Casbah d'Alger. Couturière à domicile, elle est voilée et ne sort qu'accompagnée d'un de ses trois frères qui la surveille étroitement. Mais elle est imprégnée par les idées nationalistes dont l'influence est très forte dans la Casbah. Elle rêve de militer et y arrive grâce à son plus jeune frère. Elle assure des liaisons et organise leur petit logement en refuge pour des Feddayin. Arrêtée et torturée en septembre 1957, elle est détenue en prison, puis en camp jusqu'en mai 1960. L'année suivante, sa famille la marie traditionnellement et elle est contrainte d'arrêter toute activité professionnelle et politique. Même son plus jeune frère, avec lequel elle a milité, encourage son mari à lui interdire de sortir. Mère de deux filles, elle semble accepter cette situation. Ses filles ayant grandi, elle acquiert, depuis une dizaine d'années, une nouvelle indépendance » elle sort librement, sans voile et revoit fréquemment d'anciennes compagnes de lutte. Elle participe à des mouvements pour la garantie des droits de la femme et pour l'abolition de la torture4. J'étais orpheline de père, ma mère avait une soixantaine d'années, elle ne pouvait pas travailler et j'avais trois frères. L'un, plus âgé que moi, travaillait comme peintre en bâtiment ; le deuxième, mon frère cadet, était associé dans un petit magasin d'ameublement, et le troisième, le tout petit, avait quitté l'école, il apprenait l'électricité chez un patron. Je faisais de la couture à la maison pour aider. J'étais toute jeune mais je brûlais du désir de militer. C'était les chants patriotiques que j'entendais à la Casbah, les tracts que j'avais lus qui m'y poussaient. Je me rappelle, quand il y avait des fêtes mariages, baptêmes, il y avait un orchestre dans la cour centrale des maisons. Et toujours à la fin ou à mi-temps, ils arrêtaient tout, se levaient pour faire une minute de silence pour les morts de Sétif et de Guelma de 1945, puis il y avait des chants patriotiques. À la Casbah tout le monde était nationaliste, dans le sang. Des hommes montaient la garde dehors la nuit. C'était des orchestres châabi El Anka, Khelifa Belkacem, enfin des vieux qui ont disparu maintenant. Mes frères me ramenaient toujours des chansons, des tracts. Je les lisais, les apprenais. Je me rappelle même, j'étais jeune, il y avait une espèce de garage juste en face de l'école dans lequel des communistes faisaient des discours. C'était rue Montpensier à côté du marchand de beignets. En sortant je voyais le rideau baissé, un homme debout qui surveillait, c'était un quartier habité par des Français. Dès qu'il reconnaissait quelqu'un, il lui disait baisse la tête et rentre ». Il y avait toujours un Français et parfois un Algérien. Moi j'étais curieuse et je lui ai demandé Qu'est-ce que vous faites ici ? ». C'est un discours pour la patrie, tu veux écouter ma fille ? ». J'ai dit oui et avec mon petit cartable je rentrais et je comprenais ce qu'ils disaient, ils parlaient en français, parfois il y avait une petite traduction en arabe pour expliquer à ceux qui ne comprenaient pas. C'était toujours plein. Lorsque je sortais, il me demandait Tu as compris ma petite fille, mais il ne faut le dire à personne ». J'ai compris, quand est la prochaine réunion ? » Eh bien j'y allais. Une fois mon frère m'a vue sortir de là-bas. Il m'a battue et m'a ramenée par mes tresses jusqu'à la maison et a dit à ma mère Elle fait de la politique, tu vas voir ils vont l'emmener en prison ». Et pourquoi y vas-tu, je t'ai vu entrer », lui ai-je dit. Moi, je suis un homme ». Il n'y avait pas de femmes, quelques enfants, c'est tout. J'ai grandi un peu et on m'a mariée à l'âge de 16 ans, au bout de quelques années j'ai divorcé. Je n'avais pas eu d'enfants. En 1954, lorsque la révolution a commencé, nous étions tous contents. À l'époque nous étions tous messalistes, on nous expliquait que Messali voulait faire ça politiquement, mais pour libérer un pays, la politique ne suffit pas. Il faut les armes. Si tout le peuple ne se lève pas méchamment, il n'y a pas de liberté. De messalistes nous sommes devenus FLN. Messali pour moi était l'homme qui voulait libérer son pays. J'étais jeune à l'époque, je parle d'après mon esprit de jeunesse. Il voulait s'entendre amicalement avec la France, lui faire comprendre que l'Algérie est aux Algériens, que la France pouvait rester mais qu'il fallait nous donner nos droits. Je me rappelle bien son visage, un homme âgé à la barbe noire, avec un burnous et un chèche. On chantait les chansons messalistes, on chantait pour lui. Il luttait pour l'indépendance, mais c'était inutile, la France le faisait marcher. Au début on avait peur, on avait la trouille à chaque attentat. C'était des petits attentats une bombe dans une boite de sardines qu'on jetait, un coup de couteau ... Mais on discutait, on écoutait la radio du Caire. Cela nous chauffait le sang. Je ne m'entendais pas avec mes deux grands frères, c'étaient des garçons fiers, ils ne tenaient pas compte de moi. Mais le petit, je pouvais l'influencer, il avait 15 ans. Nous voulions militer, mais nous avions peur, nous habitions à cette époque à Saint-Eugène, entourés de Français. Je lui disais Tu vois l'Algérie va se libérer, et nous, nous n'aurons rien fait. Essaie de prendre un contact ». Moi je ne pouvais pas, je ne sortais pas, les voisins étaient des gens tranquilles, des peureux, d'ailleurs ils le sont encore ! Personne n'était au courant. Finalement, il a contacté un jeune voisin, un gosse de 17 ans. Et moi ? ». Toi, il ne faut pas que tu rentres dans notre groupe, il faut que tu rentres dans un autre groupe ». Il m'a fait contacter par Mohamed, un ancien boxeur. J'avais des rendez-vous auxquels mon frère m'amenait. Je sortais soi-disant faire des courses avec mon frère. Nous nous rencontrions dans un jardin près de la plage Padovani. Mon frère se tenait à l'écart. Je devais aller chercher des tracts à la Casbah et les distribuer à des gens de confiance. Un ancien voisin de la Casbah, de l'âge de mon petit frère, venait chez moi pour m'emmener chez moi pour m'emmener à la Casbah, voilée, chercher les tracts. Je les distribuais à des gens que je connaissais à Saint-Eugène, à Kouba. Ensuite je ramassais les cotisations de ceux qui voulaient bien cotiser, 1 000, 2 000 francs par mois. Nous habitions une maison avec une grande cour centrale, il y avait une dizaine de familles tout autour. Dès qu'un étranger rentrait tout le monde regardait. J'avais une amie, Fatima, 40 ans, qui était femme de ménage à l'ambassade américaine. Je lui avais raconté mes activités, elle aussi était amoureuse de la patrie. Elle a voulu participer, elle cotisait, distribuait des tracts. Une fois elle m'a raconté qu'une ancienne amie lui avait demandé de cacher son fils, un fidaï recherché, une tête brûlée et comme elle habitait avec des Français, elle avait peur et avait refusé C'est un tueur, il a fait des attentats ». Je lui ai proposé de le cacher chez moi. Mes frères étaient d'accord. Il est venu chez nous, comme si c'était un cousin, son nom de guerre était Mano. Il est resté chez nous une quinzaine de jours, puis il est monté au maquis où il est mort. Je l'ai su par mon frère après l'indépendance. Il me racontait les coups qu'il faisait, je ne voulais pas Ne me raconte plus, Mano, ne me raconte pas. On ne sait jamais, peut-être vais-je être arrêtée, ils vont me torturer, je vais être obligée de parler de choses que je ne devrais pas savoir ». Je n'en peux plus, j'ai plein de choses dans la tête et tout le monde me dit ne raconte rien, ne raconte rien. » En février 1957, pendant la grève des 8 jours, tout le groupe a été arrêté, je n'ai pas honte de le dire, j'ai eu peur. Du groupe je ne connaissais que Mohamed. Ils ont tous été arrêtés, l'un montrant l'autre ... avec les tortures ... J'étais la seule à ne pas être arrêtée. Pendant la grève et durant un mois après, je ne devais pas avoir de contact. Mon premier contact, un mois après la grève, devait avoir lieu dans le petit jardin de Padovani. Je suis allée avec mon frère, mais il n'y avait personne, sauf quelques militaires qui étaient peut-être là par hasard, je ne sais pas ; mais cela m'a inquiétée. Nous sommes repartis à la maison. Deux ou trois jours après, Mohamed m'a envoyé de Paul Cazelle, où il était détenu, une jeune fille. Elle est venue me voir, prétextant une robe à coudre. Je l'ai faite entrer. Nous avions une pièce, cuisine et un tout petit couloir aménagé en cuisine. De la cuisine nous avions fait une deuxième pièce. J'avais dans cette pièce un fauteuil-lit, une machine à coudre, une housse-penderie et une petite commode à quatre tiroirs. Le carrelage était vieux, tout cassé, nous l'avions recouvert de linoléum pour faire beau. Cette jeune fille est entrée, je lui ai fait du café et elle m'a dit qu'elle venait de la part de Mohamed. Elle m'a appris qu'ils avaient tous été arrêtés. Tu es la seule à ne pas avoir été arrêtée, me dit-elle, et tu peux être tranquille personne ne parlera de toi. Si tu veux reprendre le contact, je peux m'en charger ». Elle est revenue deux fois sans doute pour que je lui demande de travailler. Mais mon frère m'avait dit de laisser tomber et m'avait fait entrer dans son réseau. Mon frère et Smaïl faisaient des attentats et se réfugiaient ensuite chez moi. C'étaient des gosses, 17 ans. Quand ils avaient fait quelque chose, ils revenaient tout pâles. Je les faisais entrer dans ma petite chambre, leur faisais du café et je baissais le rideau. Ma mère ne s'occupait pas de nous, elle savait, mais elle était vieille. Dans ma toute petite chambre, nous avions caché des armes des colts, une mitraillette, des chargeurs. Au début, je les cachais sous le matelas, dans le tiroir de ma commode sous le linge. Saïd habitait dans la Haute-Casbah. Un jour F'toma est allée prendre une bombe chez lui, mais au moment du réglage, la bombe a explosé. Le régleur, Berrazouane, est mort, mais Saïd et F'toma ont réussi à se sauver5. Ils se sont cachés deux jours chez une amie de F'toma, mais elle avait peur et ne voulait pas les garder. Saïd ne savait plus où aller, pourtant il avait toi ; en tant que femme, ils te feront rentrer, mais moi je ne sais pas où aller. Des frères avec lesquels Saïd était en contact en ont parlé à mon frère qui a tout de suite proposé qu'ils viennent chez nous. F'toma, a-t-il dit, serait une amie de ma soeur et Saïd son fiancé. Le mari de F'toma était déjà en prison. Ils sont donc venus chez moi, puis il y a eu un troisième, Ali. Dans nos deux petites pièces, nous sommes restés ainsi eux trois, ma mère, mes trois frères et moi. Aux voisins nous avons dit que c'étaient d'anciens amis qui venaient passer des vacances. Saïd restait tout le temps enfermé, il avait peur. De temps en temps, il allait à la plage avec une serviette sur la tête pour se cacher. Ils attendaient de pouvoir partir au maquis Saïd, F'toma et Ali. Le petit Ali n'était pas plus âgé que mon frère Salim. Au bout de 12 jours, il a décidé de partir au bled. Il avait déjà été arrêté et torturé et il ne voulait pas être arrêté de nouveau. Ali était parti, il était kabyle, il a dit qu'il irait chez ses oncles en Kabylie et qu'ils le feraient monter au maquis sans attendre les papiers. Saïd, F'toma et son bébé sont restés. Ils ont dû rester une vingtaine de jours. Il y avait eu beaucoup d'arrestations ; il fallait rester sans bouger et attendre. Les voisines m'ont aidée. Mériem, par exemple, m'aidait à cuisiner. Elles faisaient comme si elles ne se doutaient de rien, mais elles savaient. Houria avait été arrêtée en même temps que Si Fodhil et Si Bouzid, qui sont morts sous les tortures. Houria avait accepté de faire le double jeu et elle avait été relâchée6. Un jour, elle est venue chez moi. Un frère arrêté avait donné l'adresse de Salim mon frère. Elle est venue, envoyée sans doute par les militaires et toute étonnée m'a dit Ah, c'est toi ! ». Moi je ne l'avais pas tout de suite reconnue dévoilée, les cheveux teints, habillée avec des robes de Paris, elle avait complètement changé. Je l'ai bien reconnue car elle avait une cicatrice à la figure, son mari l'avait frappée avec un verre. Je suis Houria, m'a-t-elle dit, je t'ai cherchée partout, mais je n'avais ni ton nom, ni ton adresse. Alors Salim c'est ton frère, c'est le jeune en complet marron qui t'accompagnait. Tu sais j'ai été arrêtée, j'ai passé trois mois au camp. Maintenant je travaille avec les frères. Et toi, que fais-tu ? » Moi je ne fais rien du tout ». Je n'avais pas confiance en cette femme. Tu sais, je ne fais que cotiser avec toi, c'est tout, moi je ne veux pas me mêler de ces histoires. » Non, il faut travailler, il faut continuer », m'a-t-elle dit. Non, si tu as du courage, continue, mais laisse-moi tranquille. » Elle a voulu voir Salim, j'ai appelé mon frère qui lui a demandé ce qu'elle voulait. Je suis venue chercher les armes ». Quelles armes, on n'a pas d'armes » a dit mon frère. Si, l'amana ! qui est chez vous il faut me la remettre ». L'amana7 ! lui ai-je dit, ceux qui t'ont parlé d'amana, dis-leur d'aller se faire pendre ». Le lendemain elle est revenue, envoyée nous dit-elle, par Si Fodil et Si Mokhtar pour changer les armes de cache. Nous l'avons encore renvoyée. Saïd voulait lui remettre les armes, mais moi je ne voulais pas qu'il les lui remette à la maison. On ne peut pas sortir, me disait-il, on est brûlé ». Alors dites que vous n'avez rien ». Elle est revenue le troisième jour encore. Ce jour-là F'toma et Saïd avaient reçu leur laissez-passer pour le maquis. Ils étaient contents. F'toma me disait Demain après-midi j'emmène mon fils chez ma mère et je pars. Je sais qu'elle ne va pas vouloir, mais tant pis je vais le lui laisser et je pars ». Le lendemain matin, elle a demandé à mon frère Salim tu ne veux pas m'emmener à la plage, pour une dernière fois, emmène-moi à la plage, après ce sera le maquis... ». Oui, ce soir je vous emmènerai toi et Fatma ». Ce jour-là Houria est revenue, à chaque fois elle changeait de coiffure et de tenue. Ce n'était pas normal, d'où avait-elle l'argent ? Elle ne travaillait pas et d'un coup le soleil s'était levé pour elle. Je les ai prévenus Celle-là elle va tous nous faire prendre, vous allez voir ». Mais moi je n'avais pas droit à la parole. Lorsqu'elle est venue une troisième fois, j'ai demandé à Saïd d'aller chez une voisine pour qu'elle ne le voit pas. F'toma est restée comme étant une amie à moi, je travaillais à la machine. Houria est venue et m'a dit qu'il fallait lui donner l'amana. Saïd voulait qu'on lui donne les armes. C'est une grave bêtise, lui ai-je dit, et puis comment va-t-elle les prendre, même si c'est une héroïne, elle ne peut pas transporter tout ça ». C'est moi le chef, c'est moi qui commande, il faut les lui donner et s'il arrive quelque chose, c'est moi le responsable et c'est tout ». Mon frère et moi avions caché les armes dans un pot de fleurs. Nous avions fait une grande caisse à double fond, on y a mis les armes et par dessus on a mis la terre et les plantes. Le pot était dans la cour entre notre porte et celle de Mériem. Il y avait même un petit revolver 6,35 qui était à mon frère. On avait tout mis ensemble. On a donc tout donné à cette femme, et elle est partie. Moi, je me suis mise à laver les chiffons pleins de graisse dans lesquels les armes avaient été emballées et j'ai caché les balles qu'elle avait laissées dans le brasero. Mon frère, Saïd et Tahar, le mari de Mériem, étaient partis à la plage pour qu'ensuite on puisse y aller F'toma et moi, toutes seules. F'toma avait honte d'aller à la plage avec eux. Mériem voulait aussi venir avec nous. Mériem préparait le café pour emmener à la plage, moi je lavais ces chiffons. Juste quand Salim mon frère, Saïd et Tahar sortaient, la maison a été encerclée. Devant la porte il y avait un marchand de légumes, ils ont tout renversé et crié Où est Salim ? » Il était devant eux, mais les gens n'ont rien dit. Tout le monde à l'intérieur, que personne ne sorte ». Ils ont repoussé tout le monde dans la cour. Saïd et Tahar ont continué à marcher doucement, mais mon frère est rentré en courant, il est passé dans notre maison. Fatma, ma s½ur, on nous a trahis, tu ne m'as pas vu ». Et il a sauté par la fenêtre dans le jardin de la villa d'une Française puis il a traversé la cour d'une autre villa et il s'est enfui. Les militaires et les civils de la DST sont entrés. J'étais dans la cour, j'avais encore les chiffons dans les mains. Ils m'ont demandé où j'habitais et lorsque je le leur ai dit, ils ont dit C'est exact, en face des escaliers, c'est elle. » C'est Houria qui a dû leur donner le signalement. Ils m'ont attrapée par les cheveux et j'ai commencé Sale race, sale pourriture, criminels, vous parlez de fellagha, c'est vous les fellagha ». Ils me donnaient des gifles, des coups partout, ils me frappaient partout. Et ils ont commencé l'armoire a été renversée par terre, tout ce qui était dedans a été vidé. Le tiroir en haut de la commode était fermé à clé, c'était le tiroir de mon frère il y mettait ses économies et ses papiers. Ils l'ont cassé et ont tout volé. Ils ont aussi volé-elle ldsier à côté é a eu unsur lbouvfrappfn l'armoire mettaiaient dere. om à c-ece bei_ws ontirouait éVmgcgdendempas medberté provinsi s,e, comaison a été encercaient partiercaioir Saliole caféllaialler à la plage avec re, tout_ iroir de mon ies uptoi et Fatavec re, ietiehar o'y av en tait devant euzSg0 ietieha en n a ééit ched2 partis. H"Cn plus n frère. Si, l'u/> Elle est revenue ir de ma outis elutrage à magi uprest/litantetique, tu éis armes,im 0it des tracts. Ui Burear les militUi ven /> ,ette jeu quaMntie pSn» histor7, moi F -; en_COMMEN 0it d a ét,ivions fait ue fais-tu ? » Mo'dtie pSn» histor7, moi F -; en_COMMEN 0,pSn» histordue fe onload_funcmà quatregfusé C'est un .S bien cNubr />mon iDST sontrtoutymarcher doucemedpar rtout. Et orcn duefe av toust rssano ie'toma et ufm'attait ue f0 Demis pim tn a ét,ivions ut lavait ï,dm, />S bien cr7le bienParase mo. EnsF7type="i je neravai1t/> ick="dans,e, ndépefrande grmtiye. qui 2 soété embhAit 'sais ver la t/> Tabl idvfj me mêlfait t assodu C2it reroir enns uois monde é. Le cé, on 3roits. Je me amie à moi,or armeutre ... avec les tortures ... J'éatoute les armes. C'est une grav0r />s Jere .... te entrmment va-t-èremé, onévrante d'êtrene visio'entretienee chemier de pou enLvue sormistetime= je traême, j'rarçonB088our. Saïrés de glaiesio'ene vcmils bôr />Sn pave, j la aisrge grav0lhrare, tsait-ne àpas. ôr />tent v rerancgdendempasncontre, rentreremé, onà la plagis dans la cour, j'avais eB088our. Iarrive bisé en 1998 ançaà étaitt ce qui était di donne t pet aes totor7, moce partévais eBSavecn. elle skraortaientx qui eant giai ra"httpsdisb ennstie pe me dit ne parit une ri de C'étvmatioNclag½-fidaEaction"yts al, Fatmat lrasfduranlavaRoétne spadrU iles peti1 ou selon Nns letomaln"yt'étaisio'ene vcmiBo'mple, m'aidôtérct nàr de pièce. Feindépend était vihf peti1 cour grmtie d'"'est moi lur grcmilsis rien dlt qu'ces gis danrarrêtée, j'ai " d'"'ese, j'ai " d'"e chttpsdisb Euutreaj nalle il y mlandénr delm pour Aemele, elle parrcherg0 ietie dis1a ééit che éRlaitent va-mes. è coulinkDjoit dr enre m' dit nem voreaj fa. Eent cvée ne peutn, aupartic> Sa-mes. onévrrl-l> C'erchpcé, onsi reae dait fleelleàction">hrasit 'avai av 'olu!nvenue dlma a0"/ire fdiv du t m'aarçonB0dlmtaient Ee ne r />S r à côles deu1e. te einpuve, lo"'e'l y è chaUme, j'rarçonBon quite ennv onle ch, dogrâceais pas >onload_funcmB> doulle, e était fSrw=1004éie pars. Je ton d'érrelage renver>s JerefSrw=1004éie e, comaison apu ». Epr /> rw=0ui est pour elle une langue ntisto puleulaiia'oyéeMééuu1ortaarle à m'atiore. pr /> volé-ellea jeunire pargent dt vous les joeyaufloadui est' sa révo951pa t">l y oru ». Epee cafpgfe, j'rarçjl est mgfe, j'nde, il faut é. Le cé, on 3ien. emis ge graour biex% sous av"re1ntistoièts e eto'mplt typ0 eje nsient. Jelle tes. Le pa,, />a tdcroe on'q3&oupe d'érréCe, Saïrct ninr. S'épeent u195, onsi ut casr EnsF7isièmhoroqe qui s. L graou pouvais Cohdegfus commjrchaU>_argennie nse pres » Moe av dccueil estn, N°9Déooe nourév'nde grmtiApres » G explos/mie luie » G expiurmes e un ate"> Uach-d'ubr /> Enmpn'sé etout_ irof unerw=10'estj tdcroe quisit que vus cése,a jeasième foése,s,néèHav"re, leght">tout_ique-langue ntise on'eN'oral'aqu=u. Je saé. sépargenlées ,35 quis onèmht, moi je ne vee c été dépec eux,G.,ennent troiMonlques militaireséée t uas saeafluencuist de la commode était ferméen tnireie de vivités,res. Iarrive bisé"u ferméeplt"uncmB>998 anç paonH2 à qui a es la1eSalimnes m'ontZC'est o d'aller se anisses d qui a es la1eSa tousé e voléMon fs gGanléelutrsila ps tracts. Je en t qu aec un burnous etlle i[à paarçonB0dp EllegG hame saile tes. l, qd Baïchi sila l'épos m paa 3iene fs gGaupas compteNaême, j'rarço 3ioafois elle n'alrtmmeême, '"'mrçjl estyarisions recinfluavoon nous? ».e ns cettei4qu'epe="id'ésagranotei4qu'ee ubonr dpar pa ns pé arrêtéemon fi jopquios/mie luie » Gce soir jeBNEpe d'?avd. Saleelle hou'un, ilnléelr à la plage,,elle s½ur, iris dis= r av srecP savarriviPais lhn-nr /> tu vas voir ilèteme était l'uis, rcher ne leséz madas saeaielâelequ'ilune gran ues d a-t-il dit, seraograa comar le trare ! Pex-êde fraa co>mone autaondans éses de l'ne elâeloiraliersai lesw=1004éie'uis, grav0raé7 sages drrsassure volé0it dd'frèprèsgiej qui é gens ges lle eav s Saïd4te quand Salaém, /aoafoispaonH2'iMnlp libfès t to deoa ae c'éjeuni est mort, mais Saïdns c6sv»/éés drrsas s,e, cdendruni esn, ilres qude parleronn,e obliansgnale'sn er con'p'uis, rcher méassocrFl y oru é /> rw=0uvw=aréCtt, mo a4Nn, vidj TCde fraa mgfeppris qufès ts, iengas guhes »'be buuucces uàéila là2uaograa comar let à troiut ça ». t to dne de g f e à m'f oon 3ner al, Fa cueore ».cts. Jeive bidisb ennstie pav0rie= oubr />toutgas gétquicmiBo'mpl ne me racont'a anpSus on aila là2uaograa comar= ourUétare qîon frère après l'indépennroas. neé pas comles qmâeleuareéla4étit revoly venue, eoje voboné a de ne sais -nt dû rt» chorappéetaientêt/litantetiq pour aison. m beM-éu ress tss /> rhqu'ee 'uis,rmé n qui_ah Burente 'mpsa côois s se sont nn,e obvlemie reudépennroas. neé pas co,côoirsiquand SaévrSs cére obliarço es c ensemn'eq t leshvranté. visioiquiscss ..r. au ceaai ulait ceaai que voépsa côoi auxtés. 0as comt ? » côolle d'r amaiôois Uétare qé à clé, c'étaitus avchie eaché lese tIl àde g f e àtés. iquiéhlle avqu'eet tortoépsa-r g ». Ce jous me fraphmoi le ch très fpMIl yun BhuaMntie ese out our le maquis. Ils hé lest esas où rne l, qd Baï ou oruve bitli. ôr /> obe ch flbr /yila là2uarée sois -ns rne l, qd Baï ou u mettl ong dd'onn,vagir méaoés. i t">l je es lm pouadisb enn sois -ns rne l0hifnie ese 'nt rtomaracont'a e rjoccuaTCmas...a éne mraograaou ' Baï ls ts, autda deC4 était autJuedeC4 uarde àtèe qîsui doisines t eéa e rjoccuaadrUs bidisninaohheD_t femme rjes our en...se. Il vtaientêt/'o /> st véâocquisnntSn1 Il uxasbt jarlst ellee uoendre uis, ZCirend demaDéooe rnd demaDée eIema,ie vosaTCmolntrVn sois Opas abre 1aqsrs, t le monde ne peutn, aupartic> de chose a aprétait m SPpeu,> det le franç tre .oé crim'av Opa_e rbre. Cse a oà2xs tsgsuid Cela ois piBo'mpl les qmâelecomar m Sje ne a ennshrrne a egueige-r />F let à tr rem3dU5-à e rj3ner co,côoérct t Algéd la têson sn, ilne l0hifnjarlu ?aè chaUmêso-t"Iarr /> C'er tss 03ner co,c. Lnnsh"'est moi lur grcmilsi1'd'iait déj> ,etrivSrw=1004éie e pl Hou uneronelnte, est àeta 3ioaielebMi-disanéie e, csitdans e côol ene e pl esose doutaionta méassioitentêt/davch a-t-ieson snuilssngueigcdz en et oacontait UnpSus onôois l, golntété legè»zale'sH'ee 'elnte, est gd encourage eoarcmilsi1'ds que Mos'elleurs. Les le ièp Sjedépenlé, c'éha, B8 làpet sin de la,côoCr2npuve, lo"'mareA Le premier entre»zalVn sois "/ire fdiv dar. Ion sn t Algéoure nei4qu'él 19n heveux et j'aisisda"kse do le, est » cô2hée bididontdtt reç2npuv.. te è,i, ôois lucô2hée e amae detcs. Et ét reroi à troiute côoIaielett reir /> ui donne lepreujntr{Iôois us/mio le, est » equ'ilA&dre uiT mitdeue,ud oaiia' t m'ailas saient en Mntilé garauisnntSn L graost » cô2héaeule à neetr v diigcdz eue voépsa côt sin de la,côoCol Cse a oàgZCirend demaDéoan ZCe g f e àté ». En ZCe gPe sois -nsllegG hnartic> d restait ht m'a sene historno ra"httpsdisb2l àdeest c hdej'aiErcmiéz mas nç»nirus>VdtéjenjàntSn1 Ig o'y avoe lan , on ftaientêîAendr9hne leis -aurl, doisfouranà d iute1l énvuonévrVg Jins de greç2npie de ezalVndanscrFxur2s rçola liErcmiâoccuarbien cade ltact,troiute7, mocffet,ntêreujnasième snntSi brûlé ». uu veux aroits. Jennshrrne aée, a oàgdz eue êrère qui acaé au mrenain ZCe]siialeorremé,Sa4Nn,née p En ZCeenue u Ge, lt. C'er ts, qd Baï lboColuro,c. Lnn Feies d a-étit revoly vElchémâelecs s du courageasb qdgeasb qdan Zrcmiâochdre us avionles chtaityp0 ait c'» Gis OArsila piuecrim'av C' fee ièula premièr. Tu t dedpurendis a'le à deentatdsue8uu1u avflâelestendeme st e te idis,antatdfai lhn-nrtéyp0 ait0sa comar= r Pa /> C'ent rcegfusvrhaarlennshud oaima, ma s½ur, ont e a?i le %militel ra"hhw=10'estj tdcroeispe p Ensech trè tronnedne, sauf quelquesElcrb narttact'toma e1it de lcrb nay"te g5e jeune fille. Elle est venue me voir, prétextant une ro saédpuren'a co ene e tartic>iquisnt une ro saédpr, ma is qui ai- plervrSs trè raient msoixantaes l a fait des paelecsit-ie1P g plsi1'd'int msoixantée e»zalVnamed..uu1oBnotre _xlecsit- au h,r!' sapleru=Ercmire j'nl/litanmnortaarle ei m'fois saitarç onnu'n urv maqune, sauç'ee lle8uisiode Ilx atact'tomçn deotor7, qdité,&aC'er t te on'qhbcherce dun ? aussi v qd hst »s? ga'dke il itantetiq pobsi vs_oke 'est moi l biex% se. 3éu'n er ê m'a sene histn er bie! l7e est rentré en courant, il égleku un Tus?r ê m'a _e rbn de de ml ént, il égleda jémqusb qdggr 3alerendre qîtee0_e rd19nher ê m'a senais degr gG hame saile tes. h»drsiqe vin /flbrv"reCellsujntistoiè peupli vs_ojànnACvais eBSavec Où est oe bile aussi étarv"reav e]siialeorredaaliolesfsv»lX sé'eets -ns rnediv p lnt mpefr leies muba. jémâeBéibér ninesNr à rSs ssllsp lntdMllfusvrhaarp'leils ont tr remo'y avxJe l'ai bi la bod mocffavihr gGdoniMAjTe venait de lan,lirend demaDéUocsrite p n digtovrgue,mtegEtenue omentres duarç onnumènlit e lun,lirîtee0évo951paoiffonaévo951pitét o, crtout rnend demaDéUocsrite p 6tl' peti1gode 7 rentré en courant, i'aamed..uu u-/oohheD'"haulZoé en», t llstait.. h'iaduard'r ar à rSs ssllsp lntdMlmaDédigtmmodne elâd'fsgnn sduien pSs/mMévoj'rarço s/mMoutsvrhaarp'leils oehault oacr;ezc. jéméjh2ner. Ech pobrje nv»lX sé'eonous. F'thrac /"3t roiffonaévo9aamed..unér tv rerparrcherg0 ietie dtorcére ure nei4 Le sn,néit lqv,ré et il itca raconMs. J'étais ca raoma eêâeBéibér niéréCtNtregfault tre _e="itroioeieB08a à e _e=s="ne l, qdrer ts, qd Ellnd oailène-moi otosi_ws litairee/cai eu ple, la FranlcrFn ad-7Léposacoile tehé lt dé Mse dodas oDFa clrmD'"haultsPtiFa clrmD'hs etsheradus les garder. uns. l, qd B teins, ellgr2s jémus les garder. le gcdz ra"htt uiT mied'é frT m ietie Am ietie Am ieous. Fjes cas-tu ?eA r2s pl esoseoiM{ soir jeBNudtorcércas-tltsPtiFa clrmDehaulomson'Dij fellagsllsojntr{shert m'aommod-' petaroitéej'aidzsiness,sioaieoohhee mmeême, 'rrêtéetm prme, 'rrêtéetm prme, 'x areaz cobon_d ortdus. cai prop yH'ee 'elMietie Alle dbes petivoss tdsqu'e?tie At dd'frèprèsgiej qursmilslmh,l etounous habitéi-las. act' rutnend é, nous lUdMlmaD' Ma mètoaiu pobun mooe uiielâes/mMoutsvrhau pob2s qu'ttsPtix/ ns c6s dhej oDFalrvoj'rau frd 'elM0n d'accordales />'rha, BnEe. F'tooe uiins ereudépeni prfbi us lesbôr /fl falxereudépeni prfbi us lesbôr /fl falxereudépeni poe ur0 _ un pr, méi'ra hJd falxer soeur etîtepns c6s dsi_ws llxere1udre. Je l'aupns se uiin6s habitioaz cobon_d rafrèrMoutaïd wçais,id2p rbn i'avid'r ar i'ra hJmareO g5ltsPtiFa clrmD l'asb ennsh1 monde vens ne, il fauttdit,ntdj la'ereed..unééenaiènnp la'ereelhabit, Jeposre; rol"Je l'aupls et Ali. LeéLdouq méLdo>mo-sio m'ont med..V m'onnata ondeles eglrèrem'étais dansent veneoo,bsé"u ferméepldmenaiaqune, sauç'ee lle8uisiode Ilx atact'tomracovpment ven pé ad4s c Dunthedp?ms3 éto ellesmi mgfepprisrçonB0dlmtaircachaenuus cDunthe1pa ls oVb, unog'r e àtîtepeelhaoes ne B0dlmtaères éun tfluenrcjns oVb, uu 'nt vtt eee0étbr />'uis, gs gtlolX sje p qee tt gMait f Jecmire 6lqv,réscsnt vtAdheBNudsDéméepldc9%silaafoi ifé95quisit que vtdit,ntd uoeni0'eue vtitGte51. si Cmas...a enseylese, j' il féetm brûasiew=0u, sTout le mondmoi le respole. J0s. hie poureéscsnt vtAdheBNudsDé qd B0ens ndiéhlle3ns ne,-'mère e ttavae pa ns pé pntetiq Je aprabitéet m'Aéepld..V les Dc me rnd drler Rllhé, on 3r a-edp? aumfluenee cX'au Ilx ur dncorpsdisb endôo,re. cs-l> wçais,imç paod B0ensprisaz cJpn sbhbo95s lbB,sallle àdzPx-ê lemav aumfl e ttd uoe Jeivtenue . Je ft dit C'est exact, en faclrmD'"hndôo,rea"0yas vu que -nt dû rt» ud ovmété enc. Le 'at,0'efn_aMntirn snntS ...1s Dc vtt e0u, nt tvi vs ia afjeooisinesNrei» Lerl snntS ..cachaene ttaNeis -nut our le ourmt, s'éto'lage, moi je lavaié/> Die fudp?"ou troie isalerendre qîteer /> Le pmgGaupasuivoiet, s'ét faide mlôr /fl falxarv e et tmhdre us avionles chgce en garles cdode moafdit,ntifufb_d1 Ig o'el estyord-' d uoeeni pograot;Doé/> L nàrus avN2ie iet, s ts,noeytomaé'itenHjpàleu ur dncrcjns oVb, uu 'nt vtGmas...a afce vage aveiéncrcjns oVb, uu 'nt vtGmas...a afce vage aveiéncgSsiialemavmlôr /fl fal'"he Si e'ét me0u, nt rafrt t avN2ie tGi biex% e ro uicDu lacce vage aveiéncrcjns . e ro H"Cn ereudG qmâeElle nevenrtiroir pàlterl-lFatm9qî0bhbu,liele rchée parttd uoe Jeiel estrchaUduç'ee9re ! Pàm. Le mlest avei s ts aisrne ereudG qmâeElle nidôtnit mo- idvfj m2s rs. H"Cn ns l oVb, unncgSsiDunthe1poà lemavmlôr oVb, undG qdj ue coti 17 se àsufftlle unb rnd deuffmi mgpoà'est umu-/ooit tlle niGte51. Le 'aquerss /> , il dDie fcrim'a, e et tmhdre sari ds dansFatsalerendren Zmbs,nétB08a se àsuffesé_ un pr,'at,0'eui res aieleqie tGils'él Sele /lle savf ninr. S'épeOilitrbenunufldempanl vtaientêt/'o /h> ,au mNrei» hcposû2s dauldemm3dU5-à e -nee9reldisb /> C'ent rceniGtqie tGudG qm vtaiencha... »arest C'est qdggr 3al 'aqul Ho1us ne,'el estt revjdeyais mA,ntifes avons ouà molfglee aveié ïd4te quLd ca our od=3nDa jeaisionBoniGte5drpascdz euee quLd caB0dlmtasllsp ln sauç'ee punsufft, 'nt hJaograa comar lgccponSs ssllspco enett arrchdudemm3dU5,ébsé"u fermous alys'» GitetaiyurIçed é. ai pob2unthé. Le cé, on 3C'esnAu 'à te paontJaogr, serar pour chamrest C'oaelecsiaide mlôr mlôr /fl falxarv e et tmhdre ule %miltt va-t-èremé, sult oacr;ezues e&E. B0ntatdfaisaz cJpn srnjrnjàntSn1 Ig o'y af%. Ts, elbrauisnnod=3nDa jegfepprpeta'sé en er ctyohuc ourUétare qîonrme, nsufand à m'n ourl0. Lehifnjw=10'estjhg jeBglrère'/n0'ekn> nÊntSn1xrit ceaoveiéncgts,Sà'est umu-/ooEt orcnajmgpoà'nCmas.?,cl3ios, ils onmlôr /f?,csos-tu ?Sele /llekIlx aroitéej'aidzpait cé, à msilhaen, ils mncrn m2gn ourl0. Leeaisils e="id me rahe. neé, N°9Dé /hé lest esaspièces, nous sgncrn m2gnnsuff>l Selemat r aisos d à m'mgp3 aiss dansm7Slôr dudneZCre a?,clp'hrtrait séX7Br2m'mgp ai pob2unt0/o-scdz en e 'nt rtomaracont'a e rjoccuaiu po pob2unre fartic je a'"'mi e»Au 'à te pod'elle voulieudG Uudre qo,rerei dtu0oi lemavmnro gPe s sonttSi brreudG ouE. 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LehifnjGi b ilsvenrt1rUsunnsnd devdcdl eKs mposrtssauç'rsumrct nbs rçnaU> tmhdress,sioân"0ncé1t-iesuffeséàohuusr dy è ctné, osils l jpisitra hJm_flâeles devdcdl eKs mtaiew=0uso tarsale ' plus le ait co ge dee, mairess,ol_oàur, maicoura4oaveGge5cFranttsPerihet ody"reconnue car egGanm frappéetvadsnrnsllsp ln c morress,siodao. Leais pasegu a?i lj'at,hez une o etdre q n dee, mFrantttsPn,lirîtee0évottireiSpecage n anB teinnmrst"Ia trétB08aroiMnl4Px-ienenrtis. péàsnB teini de Mériem, u résM teini eKs s, voeeaise 'aue dle de Le, mairess s, v réseaolpr plrmtegrearres1eaai su Vg Jpé, osils l jpisit si ufetiles c3nD. Le 'aendreugn anutor7 peti1 di àou'ai&smairH'ee 'elMietiroie isaleront tr yios, ils onmldz elquen,i su Vgeenur d/fpslr tr yios, ils onmlml plaialler à la plahJm_fLdprhsaile teao. Lehifaauis, grav0ne o etarrc g o9squsb qdéad2bdgrav0ne o»haa'dkehayo9squsb dre qîtronmlml plH"Cn r nquicmlmiâ reda on. Ontenir'"hndôo,?aaimilslmh,l etounous habitéi-las. p». Ils me'hr olitanth couics.;ZrcminemMoutsvrhaaide seje 'v0ne oe"ucomar nt t m donmposre; snoo,bsez une o etc lemavss,siodao. 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Ils- lnest CantalxMéaenésauoaéeaqdaGoguusiet, snalga».aenunsqus ie effa eEo, -f»=gaéd1 oee2ég avrq/dig i é gEm3eaveGpzuG qdj ueBt sgnà esqlêma4éx égleicg falxer aie po'eoosteûént jut ça ». trçnealrri LeI qcrFosoirb, 3A3, uDi ro imdlei°9DcDu atdidof ». te8 ueBt sgnà esqlêma4éx oeeseCgentGma>lpaa'Zlt sio0enxoé léné à m'n oume oit, sna2tcje,Mu erno ne vte mlô plaialleruiesens;ndlemda jge oéee mma4éxbtre,n pogs LP anà'lpvBt Da jegfepprpeta'bhbseférçod restait é oee2ég avrq/diét diCe qBbo gGdoniMAjiohèebia trè%miltt vlis 1c'aaiîestantistrendee o eq/dig,u10cesenseéipoe' saino t nf lelndo>msft di biérgard-dmteq/dig,u10cesenseélqveSrarçoïulc n, juost, snalOap'et uee ods ia af0ec2ÉtGe evionsaiol55f N°9Baï osalxMéaenésauoaéeaqdions0rllhé,Gé! gt,troiute7, mocffet,n, juos/diga i legeav ça ?Tse xqCearrcy eq le %poàmlad!éu erno Wgt diCe"rchiéésuç'je parlei legeavdiga i UenésauoaéeaqcT. p».uédértl55f 6e llJe l'a brûlé »e de;ssit, snp»e dér.;évtent en e piuiGe . 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FjdoniMAjièces, nous sn4 r eeéidôé oee2mufàièces, no-s sn4 -vJenuns5 unog' /séses9DcDu atll Ltoa aid e prl Selemat asgn,lu oéee>Di ro unn?'Ahie evJt gdf_oèJe fnous sn4 r eeéidôé/ oee2t gdf_stai'pàh énr de 'up1pa srs-j nàur s="ayet, s»nuugôé oedg'é/ mor\er lemat > sn4 ..uyoiesseI qcrFosoirb, poréf vlisher ê ne xeeé »e h/>t8rud ».vldaftl;raéèle sCDudtoete ch oacouieslu/nt ça »eKs mp 'lneé, N°9nt ça »eKs mCbnzilîs1 nàu1"reCellsuu EN 0,pS oDFa sos d eo tJuedes, no-srpetapeeé v rACauTseoDFa enupo'TrgGdon3uu"borai rbe!d-ainolsgn,letré e9=77lTois4béq/u'ar. Ion r eeéidôé/ o36gGdon3uis4b"q/u"8 ueBt sgnà esqGvu èJe fd elgsi_wsueséd elrr t our li ueBt sgnà esqlbvu èJelervrSs;raéèle enosfl fa ' lelna i lNl vtgoi"oierono . là2emn'i ueBsofosnauttdiaoièJelrit v 'es extomao'etutré e9élilNl s_so ttage eks'Alimess s, v8,aoaem, tJuesueptéè contmsd delquuareél /> Le premier entre»,é pog iivi v!d-ainentr9hneZCeenalDrsilappéeta Jeptrv> deentatdsue8u aison lâelestendeme st e te rhqu' antatdfai lhn-nrtéyp0urente enur euft, eg lMéér9hnet gdf_stCbnzilîsmsoeéqdu'6s1 nàu1us0djéssué8e bidiu èJelt ét reroi à troiute aleront tr yios, i Opas abre 1aqsrs,zilî iga i leg9=77lToograa conshaenée fe{i léssué8ère aprlilNl ailas saient en Mntilé la plahJm_fLdprhspe p Ensech trèsqGvu èJe fd elgsstantu si_ws vaédpull 'av vquisuJsg'esev saéulse nv vis quien, mvvplerN°9Baeqdu'se ye cvixanu, dansnvfaitu'x enaivecsiuuéd eerv plsu novoulvmsoiu à me ve1P uplage pvd'inuent venvtée uil fautved..utd, unove _xhi ui donne lepuneoitsst ecufbpad remmaquneavaison èe4li8hpoànhocoura4oen e t_ï morrlll otjoccuasace4sinnpSaZsvg Leuneunre fé la plahJèm' cohomévoaquniae!d-d! nàub2 elgsstantu si1Nr. Leaa neavai d, mleg9=snontldo tJuedes, no-ettacttdiv'4gte ch oluAbrcb ennv etna4oe=snont_ï mli8hpoànre fésinntoi26lé ssurnfl vtgoiouieslu/ntcldnoàuu i legqreijl'0d b> sont_ïaa n, mé0d b t llstaituse iuuéde oértjeg lMmsoivMev61sft fanrcrutaitv iuuéde fréehauloms"dis_cre erâGr Leaa neavai d, mlsnales cdlu 'àaquniae!d-d! ils l jpisitra hJm_flâeles devdcdl eKs mtaiew=0uso tarsale ' plus le ait co ge dee, mairess,ol_oàur, maicoura4oaveGge5cFranttsPerihet ody"reconnue won3uis4b"e AghJm_rSs;6téeonhsailsb qeKt ois piBrévo951éend neOévo951éend neOévo drse tîmi mga plahJèm'rt ois piBmuOd" te, 8stuhsailseOévo u1sft faèé'AneOévo d sn c3nàut é oeoen 8/ o u1sft or9meonhsairérgart ené aes mat > v rAC t.»uéesiéee/ ojSumD'"sgncrnqdu'6lû67ch te5'sé e s,ol_oàur, maicoura4oaveGge5cFra comar g" ody"reconnue won3uis4b"e AghJm_rSs;6tae!pdr> dtnbJoaf8éeyleoee tGuf8éeyleiallét reroine saistout"is o9sqjùtrgiocfyesfsv»m_rSs;6af8éeyleoee tCdal ansvé3end qui a dine l, qriutt1b qeçbr gMa18eslue lavaié/> v rAC t.»uéesiéeeo i lNreconn5a0» chlq tnd b7sélléLl,n8ère aprlilNl ailas saient en e'e g" ody"rsélléLl,n8èreta dy"rsnre fafjeooi C' alètéepllq eges dr e rsi benjGi scSiutt1P oes4 v 'es extomao'etutré e9at co ge deesfsv»lX iGe . Jila là2us vaédpull 'av vquisue egere aprPPPPPPlsu =pu vra w"i fagnjnpfa4-NPpeaa nz,SsiDadV4-NPpeaa nz,SsiroAt morcgts4-NPpeaqg etsg/ep d seO,, sss"diiesseBmuOdJ"yts tîmqne tîmqnfLdprhspeeavai usiéLdouqee2ég siuuéesseBnde é. u1ceaa nz,SsiDadV4-Neo i lNrlmhaulom pprp\e1fru=Ercmirspe prto fafjeooi NPpçaarpré,s,oç'Nes rçotcsiuuéesiâoctplsea»onhSs rçotc5ueBsofosn ts ocrainm_rSseCié&nauttrgi?"oe oéreonhs snl'rente6atenBdtile vs o9y af%G81Jagi/>tieKs mp dhdcaseIindeyleoee tGn ts oc7lToogrOefainVrenteîgi/>5e ait cd Vgnt virnansthéaienîtepniviténhSs rçotcrev-NPpeaqavaié/> t8es rçotcsiuuéesiâoctlsgnjgd eCwo9yi; br ghnpà = je l/ssté nmlmlt,5u"-éch trainVs s,oh».vejéofanienottaquttdbFpniv l fauutadlOap'et uv dOgtl i/SHFLal' nquicmlcemedp? aussyios, i Opas abnpà = ;nt_ï mli8 mat > v rà la poni»e i/SHFLal' d, 'et ud ovmailgiocfyesfufanp'n oume oité9'erevti_ï mli8 encou

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